TikTok : un médecin donne une raison (de plus) de dormir en sous-vêtement

09/11/2022 Par acomputer 371 Vues

TikTok : un médecin donne une raison (de plus) de dormir en sous-vêtement

Un médecin célèbre sur le réseau TikTok a fourni une nouvelle raison de mettre un sous-vêtement lorsque l’on dort, ou du moins lorsqu’on l’on ne dort pas seul(e). Qu’en pensez-vous ?

Nombreuses sont les études à conseiller de dormir nu, pour une meilleure thermorégulation du corps, notamment. Sommeil plus efficace ou plus profond, intimité dans le couple, meilleure estime de soi, meilleure circulation du sang…TikTok : un médecin donne une raison (de plus) de dormir en sous-vêtement TikTok : un médecin donne une raison (de plus) de dormir en sous-vêtement

Seulement voilà, dormir nu n’aurait pas que des avantages. Cela aurait même un inconvénient de taille, selon le Dr Anthony Youn, chirurgien plastique dans le Michigan (États-Unis), et célèbre pour ses courtes vidéos explicatives sur le réseau social TikTok.

Récemment, il a ainsi expliqué pourquoi, selon lui, il est malvenu pour son ou sa partenaire de dormir nu.

TikTok : un médecin donne une raison (de plus) de dormir en sous-vêtement

Rappelant que nous évacuons en moyenne des gaz 15 à 25 fois par jour, et que cela peut se produire lorsque l’on dort, le Dr Youn a assuré que, chaque fois que l’on évacue des gaz, on pulvérise une infime quantité de matières fécales. Soyons clairs, ils ne s’agit pas là de ce que l’on appelle vulgairement un “pet foireux”, lorsque la flatulence s’accompagne malencontreusement de souillures de selles, mais bien de microparticules de selles qui s’échappent avec les gaz. Lesquelles sont filtrées à 100% par nos sous-vêtements, rassure le Dr Youn. On comprend vite l’inélégance à dormir nu avec autrui, a fortiori si l’on se sait sujet aux flatulences.

“Donc, pour le bien de votre partenaire de lit, veuillez dormir avec vos sous-vêtements”, supplie le Dr Youn dans un sourire.

Qu’on se rassure toutefois, si l’on propage bien des bactéries fécales lorsque l’on pète, celles-ci ne seraient pas particulièrement nocives. C’est en tout cas ce qu’ont conclu des chercheurs dans une toute petite étude menée dans leur propre laboratoire, et parue dans le British Medical Journal en 2001.

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Auteur :
Hélène Bour, Journaliste scientifique
Publié le

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